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La méditation, c'est la fin de l'Histoire

La méditation, c’est la fin de l’Histoire : fin de la projection à l’extérieur et des réactions en chaîne qui s’ensuivent.

Le retour à soi-même signe la fin des dualités et des dialectiques (puisque j’arrête de croire que le problème est chez l’autre et à l’extérieur), moteur de l’Histoire.

Fin de la roue de la cause et de l’effet, et de l’éternel retour. De fait, si je prends la conscience-présence pour fil conducteur, je cesse de « faire » ; je ne fais plus qu’accomplir l’action qui m’incombe à l’instant T, en fonction de mon karma, que je liquide progressivement. J’arrête de créer des nouvelles causes qui produiront des nouveaux effets (du karma & de l’Histoire).

 

Si je médite, l’extérieur cesse d’être l’enjeu, l’énergie retourne à sa source, et je réalise que la seule expansion qui soit et qui puisse être, est l’expansion intérieure.

Manifeste de la société de réalisation du soi.

 

La méditation (ou présence) ouvre l’ère de l’ahistoire ou éternité.

 

L’éternité arrive quand l’attente prend fin.

« Tout est déjà atteint ici et maintenant. »

Méditation clé d’une spiritualité laïque et d’une société de réalisation du soi.

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